Bienvenue sur le blog Brian is in the chicken (traduire par Brian est dans le poulet 😂), le premier blog pour les français, nuls en anglais!
Pourquoi un blog sur les cours d’anglais ?
Premièrement, laisse moi te raconter pourquoi j’ai eu envie de créer ce blog.
La genèse
J’ai développé une passion pour les langues, et surtout, pour l’anglais.
Tout d’abord, sache que je suis partie de zéro et que personne chez moi ne parlait l’anglais. Personne ne s’y intéressait non plus. Et je n’étais pas particulièrement douée pour les langues. J’étais très très timide, et je devais faire avec. Au début, zéro passion de rien du tout.
Je viens d’une famille pauvre, genre…très pauvre. Déjà, le français n’était pas parfaitement acquis dans ma famille, alors l’anglais…je ne te raconte même pas.
Autant te dire que partir en stage intensif à l’étranger, aller faire du bénévolat pour apprendre l’anglais, ou me payer un billet d’avion pour faire la baby sitter aux USA…pfff même pas en rêve.
A la maison, pour les chansons en anglais, nous nous contentions de superbes approximations. Je me souviens des chansons de Mickael Jackson telles que THRILLER ou WHO’S BAD: nous ne comprenions rien du tout, mais pas grave, nous faisions comme si, et c’était très bien ainsi. Je faisais diversion en refaisant le moonwalk de Mickael Jackson (le moon walk est un pas qui donne l’impression que le danseur glisse vers l’arrière tout en avançant, ce qui crée un effet visuel de marche sur la lune).
Et comme personne autour de moi ne comprenait l’anglais, personne n’était capable de se rendre compte que je chantais vraiment n’importe quoi.
J’ai bien eu des cours d’anglais au collège ainsi qu’au lycée, et j’alternais entre une nouille de prof, une superbe prof (que je n’oublierai jamais), et une psychopathe de prof (que je n’oublierai jamais non plus). Mais bon, ça reste les cours d’anglais dans l’éducation nationale….
Dans ces conditions, j’ai fait avec les moyens du bord, et j’ai décidé d’apprendre l’anglais par moi-même.
Pour moi, déjà en ce temps là, apprendre une langue devait passer par le plaisir. J’ai mis en place toute une série d’actions basées sur mes préférences, mes envies, mes loisirs et mes objectifs.
Le but? Prendre plaisir dans mon apprentissage de l’anglais, et progresser en anglais rapidement, aussi bien à l’oral qu’à l’écrit.
Et j’ai réussi. Sans même mettre les pieds dans un pays anglophone.
Je décidais donc de devenir prof d’anglais.
L’apocalypse
Moi: « Maman, j’ai changé d’avis. Je ne veux plus être médecin, mais prof d’anglais. »
Ma mère: » Si tu ne veux plus être docteur, tu iras te payer tes études de prof toute seule. »
Choc.
Quelle déception pour elle qui pensait que je serais médecin, et que j’allais avoir un métier socialement valorisé qui nous mettrait à l’abri de tout soucis financier.
Et quelle déception pour moi de ne pas m’être sentie soutenue dans mon nouveau choix.
J’étais introvertie, j’avais trouvé ma voix, mais mon choix n’emportait aucune adhésion.
Pas grave. C’est ma vie, et je travaillerai pour me payer mes études.
C’est ce que je fis.
Mais, il y eut un nouveau « mais ».
Les cours d’anglais à la fac ne me passionnaient pas plus qu’au collège ou au lycée. Les occasions pour parler anglais étaient quasi inexistantes. Tout me paressait fade, et aussi insipide qu’un plat sans épices.
Je ne voyais pas l’intérêt d’aller en cours pour apprendre l’anglais. D’autant plus que j’avais réussi à le faire toute seule, en me faisant plaisir.
Il y avait juste un problème.
J’adorais la littérature classique. J’avais donc appris l’anglais très soutenu et je parlais comme Shakespeare.
Imagine: c’est comme un étranger qui te parlerait dans la rue façon Molière, tu vois?
« Mon Dieu ! je n’avons pas étugué comme vous
Et je parlons tout droit comme on parle cheux nous ! » (Les Femmes savantes, 1672).
Et là, je me suis dis ça craint, non?
J’abandonnais mes études.
La renaissance
J’ai décidé de me créer une immersion à la maison pour arriver à parler l’anglais de tous les jours, et pour m’entrainer aux entretiens de recrutement, toute seule.
Nous avions désormais Internet et je me suis servi de lui, de la TV et de la radio pour améliorer ma compréhension et mon expression orale.
J’avais peu, mais j’ai fait beaucoup avec ce peu.
Avec de l’organisation, de la régularité, une bonne connaissance de moi, les bons outils et de l’ingéniosité, j’ai atteint très vite un excellent niveau d’anglais aussi bien à l’oral qu’à l’écrit.
Je décidais de partir à l’étranger et j’ai enchaîné les CDI dans divers pays à l’étranger.
Si j’y suis arrivée dans les conditions qui étaient les miennes, il n’y a aucune raison que vous n’y arriviez pas aussi.
Aujourd’hui je parle couramment anglais, et j’ai pu enseigner pendant de nombreuses années en tant que formatrice indépendante grâce à ma méthode.
Tu vas trouver quoi sur ce blog d’anglais facile?
Des astuces puissantes pour apprendre vite et bien
Tout d’abord, tu vas trouver sur ce blog, tout ce qu’il te faut pour apprendre l’anglais. Je vais te livrer tous mes secrets pour y arriver.
Ici, pas d’apprentissage scolaire ni barbant, que des articles utiles et pragmatiques pour t’accompagner dans ce qui a été pour toi jusque ici ton chemin de croix dans l’apprentissage de l’anglais.
Pourquoi me faire confiance pour apprendre l’anglais?
Tout d’abord, si tu m’as bien lue tu sais:
- que suis partie de zéro
- que je n’avais que des moyens très limités
- que tout le monde se fichait de l’anglais autour de moi
- que je me suis débrouillée toute seule
- que j’étais super timide et que j’avais honte de parler anglais
- et que j’ai réussi à atteindre un excellent niveau en ne bougeant pas de chez moi.
Ainsi, grâce à l’anglais, j’ai pu voyager et nouer des vrais contacts, obtenir un diplôme universitaire dans une université britannique, vivre des expériences inédites et travailler en CDI dans plusieurs entreprises américaines numéro 1 au monde.
Une approche différente, pas à pas.
De l’agréable, de l’utile, du marrant et de l’efficacité pour transformer ton anglais!
Je vais te guider pas à pas.
Ensuite, j’ai une excellente connaissance du cerveau et de l’apprentissage des langues basée sur les résultats de la science appliquée au monde réel (et non pas en laboratoire). C’est à dire avec les soucis de la vie de tous les jours, le travail ou les études à assumer à côté, les soucis de santé, les prises de tête avec ta moitié ou avec ton employeur, les mauvaises notes aux examens, la pression de réussir ou de trouver un emploi. On va faire avec tes vacances, et tout ce qui fait que tu as envie de prendre du bon temps en dehors de l’anglais.
Tu vas apprendre en fonction de tes besoins réels, de ta personnalité, de tes centres d’intérêt….
Bref, je ne m’arrêterai jamais décrire à ce sujet.
Mais il le faut bien.
Pour conclure, je clôture cet article avec ce superbe sketch de Gad Elmaleh pour vous dire: adieu l’anglais débile et bonjour l’anglais facile.
Et comme dirait notre ami Arnold Schwarzenegger: « Hasta la Vista, Baby ! »